lundi 1 juin 2009

L'enfant qui souriait...

Un jeune homme racontait à son fils une fable, il prit son temps afin qu'elle lui soit agréable...
Son nom était " L'enfant qui souriait ", Il expliqua à son chérubin les raisons de ce sobriquet:

"Il était si souriant; le soleil se levant,
Eclairée seulement son visage.
Dans sa citée le gris dominant, ses proches était désolant,
Mine aigri et sauvage.

Il fut le seul au visage rejouie, pourtant né ici,
Là où tous les hommes semblait attristé.
Bercée par des cries, par des personnages viles et flétri,
Jamais son expression ne changait.

Il était considéré comme different, et il l'était vraiment,
Different qu'il était, fatal soit-il qu'il fut seul.
Rejeté même par ses parents, alors qu'il n'était qu'un jeune enfant,
Il se promit de trouver d'autres de ses aïeuls.

Personnes n'était sortit de cette citée, même sinistre la populace s'y sentait en sureté,
Pas lui qui sortit des sentiers battues.
Il traversa mont et marées, trompa la mort avec ce sourire illuminé,
Ce n'est que bien après qu'il y trouva son dû.

Une ville pleine de faciès enchanté, il se fonda dans la masse sans aucunes difficultés,
Couleurs, senteurs, il ne ressentait plus de peur.
Ce nouveau visage eveilla tout de même curiosité, de ce fait il sû s'entourer,
Des bonnes personnes qui lui expliquèrent tout sur son unique expression aussi agréable qu'une fleur.

Indigné par cette réminiscence, il apprit que c'est de sa mère qu'il tenait cette luminescence,
Mais de part son père il fut convier à errer dans l'horrible cité où il naquit.
Tout deux mort dans d'horribles circonstances, juste pour une union indécente,
Il furent séparée et l'enfant fut donné à une famille dans la citée endeuillit.

Lorsqu'il entendit cela, son sourire s'effaça,
Ses intentions devinrent moins louables.
Il s'eclipsa, laissant les deux citée et le monde dans un incompréhensible fracas,
L'équilibre des deux citée en fut changer de par cette fable abominable.

Nul ne sait ce que l'homme devint, a présent doué de deux expressions il fut craint,
Paraitrait-il qu'une autre ville l'aceuillit.
Là où les gens y sont pareille à son dessein,il eut finit par y vivre jusqu'a ce que se joue le même refrain,
Il y fit le deuil de sa précédente vie."

Il se mit à sourire à repensant à cette fable, peut être car il en fut l'acteur agréable...
Son nom était l'enfant qui souriait, à présent il n'a plus de sobriquet.

Petit Poème comme ça...
Voodoo

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