Je ne sais pas, j'ai soudain envie d'ecrire, peut être est ce après la lecture du blog d'Evy que l'envie m'a surpris.
Mais écrire sur quoi? Il est 2h19.
Je n'ai aucune idée du thème. Peut être que je devrai voir ou çela me mène car c'est toujours la même rengaine, la vie est comme cela, les probleme sont constemment les même.
L'incertitude du futur est omnipresent et nos doutes ne sont pas passé à l'heure qu'il est. Je cotoie beaucoup de personne qui ont plus ou moins les même doutes... Ceux de ne pas pouvoir réussir dans la vie.
Comment peut-on dire que notre vie est réussie? Lorsqu'on fonde une famille, lorsqu'on peut compter sur ses amis, lorsqu'on accomplie nos rêve de carrière professionnel?
Tout cela peut paraitre absurde et iréel.
Pour le moment, nous sommes encore denué de toute responsabilité, nous ne vivons pas encore vraiment je pense. Tout va s'acceléré, les choses viennent et deviennent.
On ne decide de rien, nous sommes justes spectateur d'une scène qui se passe devant nos yeux.
Certaines personnes comme les hommes d'état, ont la chance d'être des figurant dans ce pathétique théatre mais eux même n'influe pas sur le devenir de tout ceci.
Ceux qui influent sur l'histoire sont les personnages principaux et nous ne les connaissons pas à part peut être un, mais il est malfaisant.
Le metteur en scene de cette comedie burlesque qu'est la vie, c'est Dieu.
Artiste incompris du public et decrié par certain.
Nous vivons en ce moment un des actes de cette pièce. La durée du spectacle n'est pas determiné.
Mais la fin promet d'être plutôt tragique.
Il faut juste être pret quand viendra l'heure du rappel, c'est là que nous devrons applaudir le travail du metteur en scene, même si il n'a pas favorisé le bon déroulement de vos vie et de vos projets.
Si à l'avenir vous échouez dans vos entreprises de vie très bien organisé, essayer de ne pas oublier que le monde ne favorise pas les gens qui y vivent.
Nous sommes tous pris dans un immense torrent, cependant certains ont la presence d'esprit de s'aggripper a la moindre excroissance pour se sortir de ce piege d'une absurdité sans nom.
Mais quand viendra l'heure du rappel, pensez à applaudir le metteur en scène. Sans lui vous n'auriez jamais vu ce spectacle.
Cela aurait été dommage.
...
Ce texte est comme l'autodidacte, il n'est pas didactique.
Les Messagers 2 la rue, eux le seront.